Cerveau et Psycho |
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sommaire Pour mieux se connaître |
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THEMES |
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Un gène de la solitude : Un géne expliquerait
pourquoi certaines personnes sont plutôt solitaires, et d'autres en
recherche de lien social. La puissance de l'effet des endomorphines sur le cerveau est réglée par le degré de sensibilité du récepteur des endomorphines, nommé récepteur de type mu. Les personnes ayant les récepteurs opioïdes les plus sensibles seraient à la fois les mieux réconfortées par la présence d'un entourage, et les plus affectées par la solitude. Ces études montrent que la tendance à souffrir de la solitude ou du rejet social, en plus des déterminants éducatifs et environnementaux, s'appuie sur une base génétique où les endomorphines jouent un rôle prépondérant. La souffrance d'être rejettée s'enracine dans une douleur physique, puiqu'on sait que les récepteurs opioïdes participent aussi à la douleur physique. Source : Cerveau & Psycho n° 36 p 4 |
Les bienfaits du groupe : Faire partie de divers groupes, chez soi, au travail, pour ses loisirs, améliore la santé et la résilience, cad la récupération après des épreuves. Une étude a montré que les réseaux sociaux renforceraient les défenses immunitaires contre le rhume. Les personnes isolées ont deux fois plus de risques de s'enrhumer que les personnes ayant un réseau social dense alors que ces dernières sont probablement explosées à un plus grand nombre d'agents pathogènes. Que se passe-til en cas d'échec du groupe ? Deux conséquences, soient les gens prennent leur distance, mais souvent leur sentiment d'appartenance se renforce, ils ressentent une plus grande solidarité à l'égard du groupe. Adhérer à de nouveaux groupes augmente l'espérance de vie et la
qualité de vie. |
Le harcèlement ! |
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